Laurent Kloetzer n’a plus besoin d’être présenté. Il nous avait déjà offert Ao dans le premier numéro d’Angle Mort et c’est avec grand plaisir que nous le retrouvons avec un nouveau texte. Pour nous, il a peaufiné un récit aux limites du fantastique, qui nous confronte à la réalité de nos fantasmes, des tensions érotiques dans un quotidien morne.